FvonFaschion

Comédie: Bloody Mary Hotel

-Sexy, drôle et étonnant
Des personnages hauts en couleur, des interprètes qui se donnent à fond : on passe un moment étonnant, sexy, drôle et mystérieux, dans une très bonne ambiance où détente et tension s'alternent... Mention spéciale pour l'impeccable maîtresse de cérémonie et pour le public "bracelets rouges" très investi et émoustillant.
# écrit le 29/04/23 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com

Comédie dramatique: Premier amour

-A découvrir
Texte intime, cruel et drôle, interprété soigneusement par un comédien très ému, avec jolis intermèdes à la guitare. Salle très sympa, de taille modeste où l'émotion circule facilement.
# écrit le 23/10/21 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com

One man show: Mikaël Bianic dans Divin Divan

-Généreux et instructif
Quel bonheur de redécouvrir ce Divin Divan, vu il y a 5 ans ! Le terme "spectacle vivant" prend ici tout son sens. Mikaël a une présence hors du commun, cette aptitude folle à être toujours sincère et connecté à son public. Les personnages sont précis, bien croqués, bel et bien là, avec nous. Le burlesque se met au service de repères historiques éclairants et on sort un peu plus curieux, un peu plus sages et un peu plus fous...
# écrit le 12/05/19

One man show: Mikael Bianic dans Le Divin Divan

-Le visage parle...
Ce divan n'a vraiment rien de divin, on parvient à peine à se ménager un espace vital pour nos fesses, quant aux jambes, c'est encore plus délicat. Impossible ainsi de tenter, ou ne serait-ce que d'envisager, la position allongée. Et le délicat pervers démarrant le spectacle ne nous met pas plus à l'aise. Durant les dix premières minutes, on oscille alors entre malaise et curiosité : qui est cet homme ? Où veut-on nous emmener ? Mon voisin de gauche va-t-il arrêter de me broyer le pied, ou dois-je rendre plus insistants mes polis coups de coude ? Puis la magie de la psychanalyse opère. C'est l'état d'hypnose. Tout se resserre autour du seul visage de Mikaël Bianic, sidérant de richesse et d'expressivité. Les personnages prennent vie, se métamorphosent, défilent. Tout le reste disparaît. Ça y est, on voyage. Et derrière ces psycho(logues ou pa(s)(the)) excentriques et souvent angoissants, de nombreuses familiarités apparaissent. Ce seul-en-scène est l'expérience vivante de ce que le gros plan est au cinéma. Analyse et identification. Non, finalement, l'est divin l'divan...
# écrit le 18/05/14