zoézie

Comédie: Le Prince qui ne pouvait plus s'arrêter de rigoler

-Un moment délicieux
Ce prince follement amoureux de sa princesse et qui se retrouve emprisonné dans son rire devient terrible. Son rire entraine le nôtre jusqu'à certaines limites... Une belle leçon de morale sur la notion de rire de ou avec autrui. Un moment super pour les enfants et les plus grands, une belle dynamique de plateau avec des comédiens investis.
# écrit le 25/03/23

Théâtre musical: La Princesse qui chantait faux ...mais vraiment faux

-Un joli conte
La confiance en soi, voilà ce qui nous manque... Dans ce conte rondement mené par un trio énergique et déluré, on nous rappelle que nous sommes les premiers et les seuls à devoir avoir confiance en nous. Les comédiens interpellent les enfants et les parents, font participer et défendent ce texte poétique avec de belles présences. Pour les petits et les grands, un délicieux moment.
# écrit le 28/10/18

One Woman Show: Blanche Gardin dans Bonne nuit Blanche

-Un regard acide
Un cynisme terrible mais qui révèle les pires réalités de notre société actuelle. Comment rire de nos plus mauvais défauts, de nos perversions et de nos travers, eh bien laissez Blanche nous en parler et c'est le fou rire assuré. Un moment intense en rire, et comme dirait l'autre, une fois qu'on en a bien rit, il faudrait peut être en pleurer... A voir absolument !
# écrit le 28/10/18

Seul(e) en Scène: Music-Hall

-Long et sans rythme
On a perdu le texte de Lagarce au bout de 20 minutes, la première fois où j'ai regardé l'heure. Dommage. Le comédien se débat du mieux qu'il peut avec ce monologue, mais le rythme ne vient pas.
# écrit le 03/04/16

Théâtre contemporain: Le Souvenir des Camélias

-De l'espoir là où il n'y en a plus...
Il n'y a plus d'espoir pour ce personnage malade inspiré de la dame aux Camélias, servi par un comédien investi. Pourtant il y a de beaux espoirs pour le travail de cette toute nouvelle compagnie. On peut reprocher un problème de rythme lors de cette première, mais on se laisse embarquer par l'univers tragico féérique de ce travail.
# écrit le 02/02/16