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Version radiophonique de "Ma dernière création est un piège à taupes". Mikhail Kalachnikov, sa vie, son oeuvre, Inculte, Fiction, 2012.

La réhabilitation du quartier est prévue. Les architectes pressentis par la Ville doivent venir au local rencontrer la population. Ce jour-là, le groupe de musique répète

Un clown sale et méchant, un ogre aux appétits hors normes. Pas un clown pour les enfants, ou alors pour celui que chaque adulte abrite en lui.

Des voisins de palier, un service rendu, une rencontre... mais elle et lui se présentent sous des identités empruntées et avantageuses.

Le tableau pointilliste de Georges Seurat, Un dimanche après-midi à l'île de la Grande Jatte, peint entre 1884 et 1886, est le point de départ de cette réflexion passionnée sur le travail de l'artiste

Armé du répertoire de Tom Waits, L'Orchestre d'Hommes-Orchestres vous propose un événement digne d'un spectacle de foire ou d'un cirque musical.

Ils étaient jeunes, violents, dandys, ils vivaient en bande du côté de Belleville et des fortifications et faisaient la une des journaux à sensation de la fin du XIXe siècle.

Entre Télégraphe et Mairie des Lilas, à l'aide d'un micro, deux explorateurs candides redécouvrent un territoire.

Conçue à partir de la correspondance de Diderot, cette courte pièce est une approche réjouissante de la pensée du philosophe des lumières.

Ivanov, c'est monsieur tout le monde. D'une trentaine d'années, brillant, actif, séduisant,il se morfond dans une sorte de mélancolie et d'apathie.

Sainte dans l'incendie retrace une vie infinie, la folie lumineuse de la gosse de Domrémy, pucelle qui entendit des voix et décida de les suivre.

Après un braquage qui dérape, Jeanne se retrouve face au public pour parler des actes irréparables qu'elle a pu commettre par amour.

Menacés de catastrophes en série, allant de chute en chute, ils glissent entre les armoires qui se referment, échappent miraculeusement à tout ce qui leur tombe dessus à un rythme haletant

Quand on est : Au chômage, pas chanceux , sans le sous et un brin ringards... faut avoir des idées... si possible des bonnes...

Une fable décalée sur l'idolâtrie et l'aliénation consumériste