@499657

Inconnu à cette adresse est un texte bouleversant. Dix neuf lettres entre deux amis, un Allemand et un Juif américain, à l'heure de la montée du nazisme.

Célimène a vingt ans. Du bout de sa baguette-beauté, elle règne sur un minuscule royaume, un tourbillon de plaisirs. Un monde. Et puis Alceste. L'anti-monde ? Un autre univers...

Patrice Valenton, modeste professeur d'économie, monte sur scène... pour honorer une promesse faite solennellement à un ami très bourré et logiquement décédé dans un stupide accident de voiture...

Cherchez le monstre ! Phèdre est la soeur du Minotaure, fruit des ébats charnels de sa mère avec un taureau......

Dorante aime Angélique mais il n'ose se déclarer car elle est aristocrate et lui, quoique riche, n'est qu'un simple roturier.

Lagarce suit fidèlement une pensée, un sentiment en train de se dire, les approches et les égarements d'une famille.

Trois pièces en un acte (La Paix chez soi - La Peur des Coups - Les Boulingrin). Spectacle comique, enlevé.

Dans la lignée de George Dandin, Monsieur Perrichon se laisse entrainer dans les inombrables aventures dont il est le héro. A moins qu'il ne soit la victime?

Un huis clos à 6 personnages dont le passé des uns concerne le futur des autres.

Dans cet opéra-bouffe s'enchaînent des tableaux de fête, pleins de gaieté et de sarcasme. Le metteur en scène a choisi ici de construire le spectacle autour des artistes et de leurs univers.

Après "Le divorce de Patrick", Dieudonné nous revient avec "Sandrine" . Un nouveau spectacle qui traite de la violence conjugale avec humour.

Un spectacle insolent où les oreilles sifflent !!! Il dynamite les travers humains dans un seul-en-scène vitriolé qui associe impertinence et élégance.

Deux hommes et une femme dans le tourbillon de la fête, de l'amitié et de la passion. Une sérénade, une trahison, un poignard : un caprice italien.

Le fil, c'est Lucette, chanteuse de café-concert... La patte, c'est celle de Fernand, charmant noceur parvenu.

Un philosophe atteint par le mal d'amour, essaie de tuer cette douleur, cette "idée fixe " qui le ronge...