Il y mène une réflexion sur la condition féminine en mêlant des scènes d'une grande cruauté à d'anthologiques moments de comédie et de farce.

C'est l'histoire d'Arnolphe, qui voudrait contrôler tout et tout le monde. Il rêve d'une femme, mais au fond c'est un chien de compagnie assurant l'intendance de la maison qu'il cherche. Peu à peu tout lui échappe. Il ne peut contraindre sa pupille, Agnès, à l'aimer, ni l'empêcher de s'éprendre du jeune Horace. Ça le ronge, le détruit. Car malgré sa misogynie, sa brutalité et son autoritarisme, Arnolphe aime profondément Agnès.

L'amour libre et indomptable saura-t-il imposer sa loi ?